Des affrontements ont éclaté mercredi soir devant la résidence de l'ambassadeur de France à Beyrouth entre forces de sécurité et des partisans de Georges Ibrahim Abdallah, l'ancien activiste libanais détenu en France, a rapporté l'Agence nationale d'information (ANI, officielle).
Selon l'ANI, les échauffourées ont éclaté lorsque les manifestants ont tenté de dépasser les barricades devant la résidence de l'ambassadeur. Aucune personne n'a été transféré à l'hôpital, a précisé l'agence libanaise, alors que plusieurs médias libanais ont fait état de blessés parmi les manifestants.
Ancien chef des Fractions armées révolutionnaires libanaises (FARL), Georges Ibrahim Abdallah avait été arrêté en 1984 et condamné trois ans plus tard pour complicité dans les assassinats de deux diplomates, un Américain et un Israélien.
Le 21 novembre 2012, "un avis favorable à sa libération a été donné par le tribunal d'application des peines, conditionné par un arrêté d'expulsion signé par le ministre de l'Intérieur".
Cet arrêté n'a toujours pas été signé, tandis qu'un "imbroglio incompréhensible de procédures" se poursuit, avec une hypothétique prochaine étape judiciaire fixée au 21 mars.
Selon l'ANI, les échauffourées ont éclaté lorsque les manifestants ont tenté de dépasser les barricades devant la résidence de l'ambassadeur. Aucune personne n'a été transféré à l'hôpital, a précisé l'agence libanaise, alors que plusieurs médias libanais ont fait état de blessés parmi les manifestants.
Ancien chef des Fractions armées révolutionnaires libanaises (FARL), Georges Ibrahim Abdallah avait été arrêté en 1984 et condamné trois ans plus tard pour complicité dans les assassinats de deux diplomates, un Américain et un Israélien.
Le 21 novembre 2012, "un avis favorable à sa libération a été donné par le tribunal d'application des peines, conditionné par un arrêté d'expulsion signé par le ministre de l'Intérieur".
Cet arrêté n'a toujours pas été signé, tandis qu'un "imbroglio incompréhensible de procédures" se poursuit, avec une hypothétique prochaine étape judiciaire fixée au 21 mars.
La perspective d'une libération est accueillie favorablement par le Liban, alors que Washington a réitéré son opposition à la sortie de prison de Georges Ibrahim Abdallah.
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