Beaucoup d’affichettes, des amplis mais la
préfecture n’avait pas autorisé, un tracteur avec plateau qui permet de
délivrer plus de puissance sonore pour les prisonniers sociaux.
Certes les civils veillaient au grain dans leur véhicule banalisé tandis que des fourgons de gendarmes mobiles bloquaient les rues donnant accès à la taule.
Pour accéder à son domicile il fallait présenter un justificatif de domiciliation, pas de visite aux amies-s.
Les passantes-ts s’arrêtaient longuement en remontant les files d’affichettes et souvent des discussions fleurissaient sur le pavé comme lors des enquêtes du GIP (Groupe Information Prison) lors des révoltes des années 70.
Quelques photos pour ne pas oublier qu’il reste des Bastille à prendre.
TOUTES LES PRISONS BOURGEOISES SONT DES COULOIRS DE LA MORT DES PROLETAIRES !
Certes les civils veillaient au grain dans leur véhicule banalisé tandis que des fourgons de gendarmes mobiles bloquaient les rues donnant accès à la taule.
Pour accéder à son domicile il fallait présenter un justificatif de domiciliation, pas de visite aux amies-s.
Les passantes-ts s’arrêtaient longuement en remontant les files d’affichettes et souvent des discussions fleurissaient sur le pavé comme lors des enquêtes du GIP (Groupe Information Prison) lors des révoltes des années 70.
Quelques photos pour ne pas oublier qu’il reste des Bastille à prendre.
TOUTES LES PRISONS BOURGEOISES SONT DES COULOIRS DE LA MORT DES PROLETAIRES !
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