Sit-in devant l'ambassade du Maroc*
Vendredi 06 juin 2014*
à 18h30*
5 rue le Tassé - Paris 16è
M°Passy (6) métro Trocadéro ligne:(6)(9)
Vendredi 06 juin 2014*
à 18h30*
5 rue le Tassé - Paris 16è
M°Passy (6) métro Trocadéro ligne:(6)(9)
Le peuple marocain et son avant-garde révolutionnaire subissent depuis une longue période une répression féroce de la part de la réaction régnante. Cette répression se manifeste par des vagues d'arrestation dans tout le pays. L'Etat réactionnaire vise par ces arrestations à étouffer toute voix réclamant la liberté, la dignité et la justice sociale. Des assassinats et des arrestations ont touché plusieurs militants révolutionnaires, progressistes ou démocrates au sein du mouvement du 20 février, de celui des étudiants, des diplômés chômeurs, ou encore du mouvement ouvrier, afin de les obliger à stopper leur lutte.
Aujourd'hui, il y a plus de 200 prisonniers politiques incarcérés dans les prisons de la honte, qui endurent des humiliations et des privations de leurs droits les plus élémentaires ; l'assassinat de Nourdine Abdelwahab, au sein de la prison de Ouarzazate, le mois dernier, est l'un des exemples les plus frappants de cette situation.
Ces derniers jours, les vagues de répression ont particulièrement été dirigées contre les universités pour bâillonner les voix révolutionnaires qui s'élèvent et pour porter un coup au syndicat militant et combattant l'UNEM - syndicat qui résiste depuis des décennies. Ce dernier fait barrage au plan de l'Etat réactionnaire de privatisation de l'enseignement, dicté par les institutions impérialistes mondiales. Ces vagues de répression que mène le régime en place avec nombre de partis réactionnaires contre un nombre important d'universités (à Fès, Marrakech, Agadir, Tétouan,Kenitra,Meknes…) se sont soldées par l'arrestation de plusieurs militants avec des moyens de répression directs et indirects et avec l'appui des services secrets. Par cette répression, le régime n'hésite pas à utiliser pour attaquer ces mouvements, des nervis qui sont à la solde des services secrets, afin que ces derniers n'assument pas la responsabilité directe de ces attaques. Ainsi, on veut faire croire au peuple que les victimes ne sont que celles de règlements de compte entre étudiants, et l'Etat cherche par cette même occasion à justifier la militarisation quotidienne des universités et à se donner bonne figure en apparaissant comme le dernier rempart contre la violence et l'unique protecteur possible des étudiants contre celle-ci.
Ces derniers jours, les vagues de répression ont particulièrement été dirigées contre les universités pour bâillonner les voix révolutionnaires qui s'élèvent et pour porter un coup au syndicat militant et combattant l'UNEM - syndicat qui résiste depuis des décennies. Ce dernier fait barrage au plan de l'Etat réactionnaire de privatisation de l'enseignement, dicté par les institutions impérialistes mondiales. Ces vagues de répression que mène le régime en place avec nombre de partis réactionnaires contre un nombre important d'universités (à Fès, Marrakech, Agadir, Tétouan,Kenitra,Meknes…) se sont soldées par l'arrestation de plusieurs militants avec des moyens de répression directs et indirects et avec l'appui des services secrets. Par cette répression, le régime n'hésite pas à utiliser pour attaquer ces mouvements, des nervis qui sont à la solde des services secrets, afin que ces derniers n'assument pas la responsabilité directe de ces attaques. Ainsi, on veut faire croire au peuple que les victimes ne sont que celles de règlements de compte entre étudiants, et l'Etat cherche par cette même occasion à justifier la militarisation quotidienne des universités et à se donner bonne figure en apparaissant comme le dernier rempart contre la violence et l'unique protecteur possible des étudiants contre celle-ci.
En parallèle à ces vagues de répression, le régime mène des campagnes de propagande par le biais des journaux, de la télévision et du parlement afin que soient dictées des lois pour criminaliser la lutte et accorder tous les pouvoirs aux forces de répression qui pourraient ainsi intervenir à tout moment au sein des universités transformées alors en casernes militaires, - et ce dans le seul objectif de bâillonner les voix libres qui s'expriment encore.
En réaction à cette situation, au nom du comité d'action et de soutien aux luttes du peuple marocain et en liaison avec des organisations amies, nous avons décidé de mener une action urgente, à savoir un sit-in devant l'ambassade du Maroc, le Vendredi 6 Juin 2014, à 18h30. Et dans ce contexte, nous appelons les organisations et les militants progressistes, ainsi que les démocrates épris de justice, à participer à cette action et à contribuer à sa réussite afin d'apporter leur soutien au peuple marocain dans sa lutte pour la liberté et la dignité.
Organisateurs:
*Comité d’action et de soutien aux luttes du peuple marocain (Paris)
*Comité anti-impérialiste
*Comité d’action et de soutien aux luttes du peuple marocain (Paris)
*Comité anti-impérialiste
*Secours rouge arabe
*Bloc Rouge (Unification des maoïstes)
*Bloc Rouge (Unification des maoïstes)
Signataires :
*Servir Le Peuple
*Association de Solidarité avec le Peuple Marocain
*AÖTDK (Comité pour la Solidarité avec les Prisonniers Politiques en Europe)
(La liste est ouverte)
*Servir Le Peuple
*Association de Solidarité avec le Peuple Marocain
*AÖTDK (Comité pour la Solidarité avec les Prisonniers Politiques en Europe)
(La liste est ouverte)
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